Notre-Dame du Val Info janvier 2017
Eglise catholique - Secteur Val de Bussy - janvier 2017
Nous avons un trésor à partager
Les messes de Noël ont rassemblé beaucoup de monde dans nos églises autour des crèches. Et le 1er janvier à la messe, nous nous sommes souhaité une bonne année dans plusieurs dizaines de langues. L’après-midi, nous avons vécu une belle prière pour la paix à la pagode avec nos amis des autres religions. Pendant ce temps, des jeunes priaient pour nous au rassemblement européen de Taizé à Riga en Lettonie. Quelle chance nous avons de vivre cette fraternité qui englobe la diversité des pays et des religions !
Ne dilapidons pas ce trésor. Partageons-le autour de nous. Pour cela, nous avons besoin de renforcer les liens dans notre communauté paroissiale, pour qu’elle rayonne toujours plus du Père miséricordieux, du Christ qui ouvre à la vraie vie, et de l’Esprit qui nous permet de vivre la non-violence active prônée par le pape François.
Pour renforcer nos liens, nous avons besoin que vous donniez votre avis sur ce que nous devons développer. L’Equipe d’animation pastorale vous le demandera par un questionnaire à remplir lors des messes des 21 et 22 janvier (voir l'EAP lance une enquête pour penser l'avenir).
Ensemble nous formons le Corps du Christ, nous sommes membres les uns des autres, comme dit Saint Paul. Que chacune et chacun soient assurés du soutien et de la prière de tous en cette nouvelle année 2017.
Père Dominique Fontaine
Reportage Le « vivre ensemble » est une réalité à Bussy-St-Georges
Par Cong-Dong Le
C’est la cinquième année qu’une prière interreligieuse pour la paix rassemble les communautés le jour de l’an. Cette année encore, ce rassemblement bénéficie de l’excellent accueil de la pagode Fo Guang Shan.
L’ambiance est à la fois solennelle et conviviale. Chacun se retrouve comme dans une réunion de famille où tout le monde parle avec son cœur. Après une très belle prière chantée par la Vénérable Man Chien et les moniales de la pagode Fo Guang Shan, les différents responsables religieux sont invités à exprimer leurs vœux de paix dans le monde. Tous se réjouissent que le fameux « vivre ensemble » n’est pas un vœu pieux, mais devient une réalité tangible dans notre secteur. Par nos actions communes, comme les différentes manifestations à la suite des attentats du mois de juillet, la conférence sur le thème de la miséricorde et la compassion le 27 novembre, et ce temps annuel de prière pour la paix, nous avons pu consolider nos liens fraternels. Les résultats sont réels parce que nous sommes devenus « les ouvriers de la paix ». Nous allons vers les autres comme « quelqu‘un utile à l’humanité », selon la parole de Farid Chaoui, Président de la mosquée, ou comme « un juste qui a le soucis des autres », selon Claude Windisch de la communauté juive, ou encore comme quelqu’un « en paix avec soi-même » pour citer Laurence Berlot, Pasteure de l’église protestante unie de France. Le Père Dominique Fontaine, citant le Pape François, nous invite à « être des missionnaires de la non-violence active ». C’est la voie vers une paix durable qui exige engagement, patience et sacrifice. Nos regards se tournent naturellement vers Martin Luther King, Gandhi et bien sûr Jésus-Christ, le Prince de la Paix. Pour continuer ce chemin commun, le Père Dominique annonce quelques projets à venir : la création d’une association interreligieuse à Bussy-Saint-Georges, et l’organisation commune du « Monde en Fête » en novembre.
Nous sommes les ouvriers de la paix
N’oublions pas le côté festif de la rencontre : l’assemblée, rajeunie par les représentations des jeunes bouddhistes venus de tous les pays d’Europe, est gratifiée des chants harmonieux des moniales de Fo Guang Shan et entraînée dans un rythme « endiablé » avec l’hymne de paix européen chanté par la chorale improvisée de Notre-Dame du Val. Avant « l’offrande de la lumière » qui clôture ce concert pour la paix, les participants chantent de bon cœur et tous ensemble « Evenou shalom halerem », « nous vous annonçons la paix »…
Pour concrétiser l’ambiance chaleureuse et favoriser les échanges, un abondant buffet végétarien est livré à la gourmandise des participants.
LIVRE
LA REPUBLIQUE, L’EGLISE ET L’ISLAM, une révolution française,
par Rachid Benzine et Christian Delorme,
Edition BAYARD, février 2016. Référence de la bibliothèque : 297
Rachid Benzine, enseignant musulman, et Christian Delorme, prêtre catholique du diocèse de Lyon, analysent la situation des musulmans en France. Ils sont plus de cinq millions et vivent pour une grande part dans des secteurs déshérités, marqués par la fracture sociale. Les plus jeunes subissent l’influence croissante de groupements islamiques intégristes qui manipulent leurs sentiments de frustration et les poussent à des ruptures radicales allant jusqu’à l’embrigadement dans l’armée de Daech fallacieusement présentée comme luttant pour l’instauration d’une société musulmane idéale. En octobre 2015, il y avait à ce titre, en Syrie et en Irak, cinq cents jeunes volontaires venus de France, dont 29% de jeunes femmes.
Face à ce qu’ils nomment une « nouvelle révolution française », les auteurs lancent un appel pour recoudre le tissu social, notamment par le respect mutuel et la fraternité civique. Les non musulmans sont invités à comprendre que les musulmans sont profondément religieux. Mais, réciproquement, les musulmans sont appelés à prendre acte que notre nation française a été marquée par le christianisme et a trouvé sa cohésion dans la liberté de conscience et la distinction entre le spirituel et le temporel.
Le pacte laïc doit être maintenu mais les auteurs pressent l’Etat de pratiquer une laïcité de tolérance et non d’hostilité. Quant à l’Eglise, elle est vigoureusement priée de poursuivre le dialogue interreligieux, indispensable pour que les religions cessent de nourrir les guerres et servent à trouver la Paix. •
Jean Dupuis
NB : la bibliothèque possède aussi un autre livre de Christian Delorme, publié en 2012 : « L’Islam que j’aime, l’Islam qui m’inquiète », référence : 297.
Par Dominique Fontaine
Le dimanche 15 janvier sera la journée mondiale des migrants et réfugiés. Cette année le pape François met le projecteur sur les migrants mineurs non accompagnés, dont certains ne sont pas pris en charge. En Seine et Marne, les Apprentis d’Auteuil en accueillent un certain nombre. Le Père Dominique nous propose une réflexion biblique pour cette journée.
Ils jettent Joseph dans une citerne
La journée du migrant de cette nouvelle année 2017 est centrée sur les enfants mineurs non accompagnés. Et dans la bible, il y a justement un récit très important qui met en scène le destin d’un jeune mineur, migrant malgré lui. C’est l’histoire de Joseph, l’un des fils de Jacob, ancêtre des douze tribus d’Israël. Le petit dernier était Benjamin, mais le jeune fils préféré de Jacob était Joseph. Et ses frères sont jaloux de lui. L’histoire est racontée dans les derniers chapitres du livre de la Genèse. Joseph a 17 ans. Ses frères sont partis à plusieurs journées de marche pour faire paitre les troupeaux familiaux. Le père envoie Joseph à leur rencontre pour avoir des nouvelles. En le voyant de loin, ils veulent le tuer, puis finalement le dépouillent de la belle tunique que son père lui avait offerte et le jettent dans une citerne. Mais, apercevant une caravane se dirigeant vers l’Egypte, ils le vendent aux marchands. Joseph se retrouve donc en Egypte, d’abord comme esclave, puis comme prisonnier.
Nous retrouvons bien là la situation de nombreux enfants déracinés et victimes de la traite des êtres humains que dénonce le pape François et que combattent de nombreuses organisations comme le Secours Catholique.
Joseph, ce jeune migrant non accompagné
Mais voilà que le jeune Joseph arrive à « s’intégrer » en Egypte et a la chance de se retrouver parmi les employés de l’intendant du pharaon. Il peut alors mettre en valeur les capacités d’intelligence et de discernement que Dieu lui a données. Il va aider l’Egypte à faire des provisions de blé pendant sept années « de vaches grasses », avant sept années d’une famine qui touchera toute la région. Cette situation va amener Jacob et toute sa famille à migrer eux aussi en Egypte pour réussir à survivre. On assiste donc à un regroupement familial, permis par ce « jeune migrant non accompagné » qui a été précurseur.
Cette histoire, finalement positive, nous montre comment Dieu accompagne, comme un père, ces migrations chahutées et souvent dramatiques. Et la traversée de l’épreuve migratoire va transformer profondément la grande famille de Jacob, comme elle peut transformer nos sociétés et notre Eglise, si nous sommes capables de discerner le travail de l’Esprit saint. Nous pourrons alors découvrir que ces jeunes migrants non accompagnés ne sont pas seulement des êtres en détresse, mais aussi, pourquoi pas, de ces petits qui peuvent nous apporter des éléments d’une vie nouvelle insoupçonnée, comme l’a vécu Joseph pour ses frères. Si nous savons les accueillir, peut-être pourrons-nous dire avec Jésus : « Père, ce que tu as caché aux sages et aux intelligents, tu l’as révélé à ces petits qui sont mes frères. » •
Sept jeunes de la paroisse, accompagnés du père Bruno et d’Elisabeth, ont participé aux rencontres européennes de Taizé qui se sont déroulées à Riga, en Lettonie, du 28 décembre au 2 janvier.
Nous avons rencontré des jeunes chrétiens européens de toutes confessions, en majorité protestants et catholiques d’Europe de l’Est. Nous étions environ 600 français sur 15 000 participants. Nous étions répartis entre les différentes paroisses de Riga. Notre groupe de Bussy était réparti entre trois paroisses à environ 1h de Riga en bus. Nous avons tous été accueillis dans des familles lettones, chaleureuses et heureuses de nous recevoir. Ce pays n’a pas l’habitude d’avoir la visite d’étrangers.
Découvrir des cultures différentes
Nos journées étaient bien remplies. Chaque jour, nous avions un temps de prière le matin, le midi et le soir. Ces prières, dites de Taizé, consistent à chanter dans des langues différentes des chants méditatifs, à rester pendant cinq à dix minutes en silence, et à lire un passage de la bible souvent commenté par frère Alois. Tous les matins, dans nos paroisses, nous avions des discussions en groupe avec des jeunes de différentes nationalités et confessions religieuses. L’après-midi, nous pouvions choisir de participer à des ateliers liés, à la découverte culturelle de Riga et des traditions lettones, à l’exercice de notre spiritualité, ou à des réflexions organisées par la communauté de Taizé. Nous avons aussi pris le temps de visiter la vieille ville.
Nous avons été heureux de découvrir des cultures différentes et de faire partager notre culture aux autres. Nous parlions en anglais, et si besoin, certains faisaient la traduction de sorte que personne ne soit écarté des discussions.
Nous avons réellement ressenti, pendant ces rencontres, la volonté de la communauté de Taizé d’œuvrer pour réussir la paix, par le respect des différents cultes et la compréhension des croyances et rituels de chacun, par l’utilisation de plusieurs langues dans la prière et les temps de méditation communs. Les moments de convivialité nous ont rapprochés les uns des autres.
Nous avons vécu un extraordinaire moment de fraternité entre chrétiens et européens ! Nous souhaitons remercier la paroisse de nous avoir aidés à partir à Riga.
Le groupe 18-30
© photos DR
Rassemblement des collégiens à Bussy-Saint-Georges
Un temps fort rassemblant plus de 600 collégiens de Seine et Marne s’est déroulé le dimanche 11 décembre à Bussy-Saint-Georges. Temps fort propice à l’ouverture aux autres et à la rencontre, entre eux, et avec « Celui qui doit venir ». C’était le thème de la journée : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » Mt 11, 3Le matin, les jeunes étaient répartis dans différents lieux : le gymnase Michel Jazy, le collège Maurice Rondeau et la pagode Fo Guang Shan, pour partager autour de divers témoignages : « Après la découverte de la Pagode, nous avons rédigé plusieurs dépêches pour le journal La Bonne Nouvelle! »
L’après-midi, au cours de la célébration eucharistique présidée par Mgr Nahmias, à Notre-Dame du Val, des scouts ont apporté la Lumière de Bethleem pour la transmettre à chaque groupe. Ils ont prié ensemble, dans la joie, pour la paix : « Durant la célébration du 3ème dimanche de l'Avent, nous prions pour la Paix, et tout particulièrement pour nos frères coptes du Caire. »•
Marie-José Fournier
Qu’allons-vous trouver au pélé de pole 2017 ? De l’abbaye du Mont St Michel en 2016, à la basilique Sainte Marie-Madeleine de Vézelay en 2017 il n’y a qu’un an d’écart et des pieds plus au sec. Qu’est-ce qui nous attend ? Cyril nous dévoile une partie du mystère …
Après le Mont Saint-Michel en 2016, Pontigny et Vézelay sont au programme de 2017
Patrick Mannier - Cyril, pourquoi ce pèlerinage ?
Cyril - Avec mon épouse, nous avons pour projet futur de cheminer vers Compostelle, et avons conscience que « c’est un sacré périple », alors, ce Pèlerinage « Vézelay-Nevers » nous semble une première étape à faire en compagnie de paroissiens en quête de spiritualité.
P.M - Qu’allez-vous chercher dans cette aventure ?
C - Vous avez raison, c’est une belle aventure car je sais que nous allons y découvrir des choses que seul un pèlerinage peut apporter. Je connais un peu le secteur de l’Yonne en tant que touriste, mais là, c’est une véritable démarche de foi qui s’opère en un lieu que l’on peut qualifier de « mythique » car très chargé en symboles et en histoire, notamment par les différentes architectures à découvrir.
P.M - Comment cela va-t-il se passer ?
C - Je ne connais pas encore toute l’organisation mais je me doute que ce n’est pas un camp scout, bien que sur certains aspects ça puisse y ressembler. On ne va pas en pèlerinage comme on va à la plage : il y a toujours une part d’efforts qu’il faut consentir pour en récolter une bienfaisance spirituelle.
Je compare cela volontiers à un coffre précieux dans lequel chacun dépose quelque chose comme une part de lui-même, ce même coffre où on trouve des valeurs que d’autres y ont déposées.
Je suis rassuré. Ce cheminement permet de rencontrer des profils variés : il y a ceux pour qui c’est la première fois et à qui on dit « Pas d’inquiétude, je vais t’aider », il y a ceux qui, forts de leur première aventure, apportent leur dynamisme convaincant, et puis il y a les autres, les anciens qui se révèlent tour à tour soutien, exemple pour les autres, animateur et guide. L’esprit de ce « cheminer ensemble » c’est aussi cela qui est gratifiant.
P.M - Comment faut-il s’y préparer ?
C - Comme tout travail cérébral ou physique il faut se préparer et c’est là où il est intéressant de faire un parallèle entre matériel et spirituel. Bien sûr il y a un minimum de choses à prévoir : les informations utiles seront donnée en temps voulu. Mais il y a surtout un sac à dos à remplir de patience, de compassion, de respect des différences et de bonne humeur, l’ensemble alimenté par la prière car elle féconde toutes nos intentions et nos actions ! C’est notamment ce que nous rappelle la halte que nous ferons à Nevers auprès de Sainte Bernadette : la simplicité de l’action inspirée par l’écoute de l’Esprit, sous le regard de Marie!
P.M - Quel est le prochain rendez-vous ?
C - Pour connaître tous les détails de ce grand moment venez à la soirée d’information et d’organisation du mercredi 18 janvier 2017 au centre pastoral du Val de Lagny, 35 rue du 27 Août 1944 à Lagny-sur-Marne.
P.M - Votre message aujourd’hui ?
C - A l’heure des bonnes résolutions pour la nouvelle année, que vous ayez fait ou non le pèlerinage 2016, inscrivez-vous à celui de 2017, vous en reviendrez grandi et enthousiaste, foi de pèlerin !
Hanouka, la fête juive des lumières célébrée à Bussy-Saint-Georges.
En novembre-décembre les chrétiens allument les bougies de l’Avent et de Noël. En cette période, les juifs aussi ont un grand moment festif : pendant huit jours ils allument chaque soir une bougie sur le candélabre à huit branches, récitent des bénédictions particulières et partagent un aliment frit. Ils commémorent ainsi la victoire des juifs sur les grecs au 2ème siècle avant Jésus-Christ, victoire qui permit la restauration du culte dans le temple de Jérusalem.
En 2016, la fête d’Hanouka tombait dans le temps de Noël. Le candélabre a été dressé place Vitlina à Bussy-Saint-Georges, et la troisième lumière a été allumée en présence des autorités civiles et de représentants des communautés chrétienne et musulmane. Tous ont partagé la lumière, signe de paix et d’espérance. •
Par Matthieu Cuvelier pour l'EAP
A l'Equipe d’Animation Pastorale, nous avons beaucoup d’idées et de propositions, mais sont-elles en adéquation avec ce qui est souhaité ? Un questionnaire va être proposé à l'ensemble des paroissiens pour savoir si nous sommes assez proches des attentes de la communauté.
Certaines propositions que nous avions identifiées comme très importantes (Cf le projet pastoral publié dans NDVInfo de juin 2015) n'ont pas rencontré l'engouement escompté. De même, la souscription pour l'extension du centre pastoral, qui est pourtant nécessaire si nous souhaitons continuer à proposer un certain dynamisme, peine à décoller. Aussi, lors de la messe du 22 janvier, nous demanderons aux paroissiens présents de prendre quelques minutes pour répondre aux questions qui leur seront posées :
- Qu’est ce que vous appréciez particulièrement dans notre vie paroissiale et que vous souhaitez préserver ?
- Si vous aviez à exprimer un désir non satisfait par rapport à ce que vous vivez au sein de notre église, ce serait quoi ?
- Quels nouveaux besoins pourraient être pris en compte dans le cadre de l’extension des locaux de l’église ?
- Que pouvez-vous apporter vous-même à la vie de la communauté paroissiale ? (animation, liturgie, entretien de l’église, aide aux actions du Secours Catholique, accompagnement de l'aumônerie et du caté, aide à la préparation des sacrements…).
Dans les différents groupes de vie, le questionnaire pourra être élargi et servir au rayonnement et à la visibilité du groupe.
Nous avons de nombreuses propositions à venir et des enjeux importants : un pèlerinage de pôle fin avril, un prochain "Monde en fête" à organiser conjointement avec les autres communautés religieuses, développer la vie des différents groupes de service de notre paroisse, encourager la place des jeunes et de leurs familles dans notre communauté, l’extension du centre pastoral, le projet de présence sur l'Esplanade des Religions...
Avec tous ces projets, il nous faut maintenant savoir si cela nécessite une meilleure communication de notre part pour les faire aboutir avec vous, et si oui, comment. Les réponses que vous apporterez à ce questionnaire aideront l’EAP à poursuivre une dynamique déjà bien engagée de rapprochement entre les membres de la communauté et d’ouverture vers l’extérieur
© photo M.J.Fournier
Un temps pour prier
Dieu vivant, si pauvre soit notre prière, nous te cherchons avec confiance. Et ton amour se creuse un passage à travers nos hésitations et même nos doutes.
Jésus, lumière de nos cœurs, depuis ta résurrection, toujours tu viens à nous. Où que nous en soyons, toujours tu nous attends. Et tu nous dis : « Venez à moi vous qui peinez sous le fardeau et vous trouverez l’apaisement ».
Jésus le Ressuscité, tu souffles en nous l’Esprit saint. Et nous voudrions te dire : « Tu as les paroles qui donnent vie à notre âme, à qui d’autre irions-nous qu’à toi, le Ressuscité ? »
Living God, we praise you for the multitudes of women, men, young people and children who, across the earth, are striving to be witnesses to peace, to trust and to reconciliation.
Par jaunatni tas plaukuma, par visiem Teze jauniesiem, kas ieradusies Malpili no Francijas, Lietuvas, Baltkrievijas, Polijas un visiem, kas vinus uznema un kalpoja viniem, lai tie tiktu svetiti mes tevi ludzam.
prière de Taizé, vécue par le groupe des jeunes à Riga en décembre 2016
“Tu as les paroles de la vie éternelle" Jean 6,68