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Voici que l'Esprit Saint comme un grand vent a soufflé sur eux. La peur a disparu et ils sont sortis proclamer l'Évangile du Christ, chacun a pu entendre dans sa langue les merveilles de Dieu !
Depuis la première Pentecôte, d'autres disciples du Christ ont été saisis par le souffle de l'Esprit, passionnés par la rencontre des autres, ils sont sortis eux aussi, pour aventurer la foi Chrétienne sur d'autres continents.
D'autres encore ici en France ont pris conscience de la déchristianisation et l'Église est sortie dehors, rencontrant un monde qu'elle ne connaissait pas ! Ils ont cherché des chemins nouveaux pour la mission, et la mission s'est faite conversation, dialogue, témoignage de foi où vivent les hommes.
Comme pour les disciples d'Emmaüs ils l'ont reconnu sur la route, en partageant sa Parole et son Pain, leur coeur est devenu brûlant !
Ils ont appris à dire Dieu dans le langage des hommes et ces rencontres ont bouleversé leur vie !
Nous aussi nous avons à nous laisser saisir par le Souffle de la Pentecôte, nous sommes en plein monde et nous faisons l'expérience de sa complexité.
En discutant avec ceux que la vie nous donne de rencontrer, nous constatons que les gens sont attachés aux valeurs de l'Évangile, mais comment leur transmettre le coeur de la foi chrétienne, quand la question de Dieu ne les concerne plus ?
Nous savons que l'annonce de la foi passe par le témoignage de nos vies et qu'il nous faut raconter comment la foi nous fait vivre !
Dans nos propres familles, nous faisons l'expérience que la transmission de la foi n'est pas héréditaire et en même temps, nous voyons naître dans les eaux du baptême, des adultes qui ont été touchés par des témoignages, leur révélant la foi en Jésus Christ !
Ne soyons pas nostalgique d'une époque révolue, la situation nouvelle que nous vivons aujourd'hui au moins en Europe, nous invite à être des Chrétiens qui vivent la radicalité de l'Évangile !
Nos contemporains sont touchés lorsque l'Église se fait proche des pauvres, et nous savons que des figures comme Mère Térésa, l'Abbé Pierre et Soeur Emmanuelle sont des vies qui séduisent un certain nombre de jeunes aujourd'hui !
Ils sont capables de donner de leur temps pour des populations plus défavorisées, ici dans notre pays, en faisant du soutien scolaire, en visitant des prisonniers, en faisant des activités avec des enfants du quart monde ...
Mais aussi là-bas, en donnant quelques années de leur vie, pour partir avec différents organismes, afin de mettre leurs compétences au service de pays plus pauvres.
II y a dans ces engagements la vitalité de l'Évangile, le souffle de l'Esprit nous invite encore à sortir, la Pentecôte est toujours à revivre, elle fait naître l'Église au monde !
Père Pierrick Lemaître
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Les fruits de l'Esprit
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II existe des charismes qui ne font pas de bruit. On les appelle les « fruits de l'Esprit », avec saint Paul. Ces fruits sont donnés à tous, personnellement et en communauté. Paul les énumère dans sa lettre aux Galates : « Amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, douceur, maîtrise de soi » (Ga 5,22). Ailleurs il donne encore d'autres listes, qui se recoupent partiellement : « Bonté, justice, vérité » (Eph 5,9) ; « Justice, piété, foi, amour, persévérance, douceur » (1 Tim 6,11) ; « Justice, paix et joie dans l'Esprit Saint » (Rm 14,17) ; « Pureté, science, patience, bonté, amour sans feinte, parole de vérité, puissance de Dieu » (2 Cor 6,6-7). De ces différents textes ressort l'image de communautés illuminées par la joie du service et l'écoute mutuelle, dans la patience et la paix du coeur. Des communautés construites sur la charité dont parle Paul avec ardeur dans son « hymne à la charité » (1 Cor 13). Vivre cet amour, ce n'est rien d'autre que de se faire disciple de Jésus, qui fut « doux et humble de cœur » (Mt 11,29) ; c'est être avec lui, homme abandonné à Dieu et ouvert aux autres, homme libre et sans artifice, tout à la fois exigeant et miséricordieux, fort et tendre, homme d'intériorité et accessible à tous. Le contraire de l'homme violent, agressif, centré sur lui-même, insensible aux autres (voir Ga 5,19-21). L'Esprit agit le plus souvent dans le cœur des hommes d'une manière peu spectaculaire. La plupart du temps, il nous donne des fruits « normaux ». « Ils sont si normaux », ajoute le Catéchisme hollandais, « qu'ils se trouvent partout à leur place, à la cuisine et au salon, à l'école et à l'atelier ... Ainsi, l'Esprit Saint est présent dans cette réalité « la plus ordinaire », l'amour chrétien, car il n'existe rien au monde de plus grand ... On pourrait allonger la liste (de Paul) par une description de toute la vie chrétienne ; la fidélité cachée, la bonté désintéressée (toute une vie consacrée aux malades), le devoir accompli sans faire de phrases (la mère de famille), la confiance indéracinable du pécheur que Dieu est plus grand que son propre coeur, et puis la constance dans la tentation, la serviabilité chaleureuse envers un voisin en difficultés, le véritable amour de Dieu, la persévérance brûlante dans la prière silencieuse, la patience dans la douleur, la joie d'une conscience en paix. Voilà l'oeuvre de l'Esprit aujourd'hui ». II faut en outre se souvenir que l'Esprit de Dieu n'agit pas à l'encontre de notre intelligence, qu'il ne bouscule pas notre tempérament pour construire sur ce qu'on pourrait appeler les ruines de notre nature. Lorsque l'Esprit est à l'oeuvre, c'est le plus souvent dans le prolongement des dons naturels qui sont déjà nôtres. II est rare qu'un homme doux et timide se mue en lutteur indomptable. Cela n'est pas étonnant car l'Esprit Saint et nos dons « naturels » proviennent de la même source : la générosité du Père. Ils pourraient difficilement être opposés. |
Depuis longtemps l'Église accompagne les « gens du voyage ». ils sont nos frères et nos voisins. Leurs caravanes sillonnent nos routes et leurs stationnement ne passe pas inaperçu ! Leur présence suscite commentaires, interrogations, suspicion ... Qui sont-ils ? Que font-ils ? Où vont-ils ? ... Depuis quelques mois, on m'a demandé de visiter quelques familles qui habitent les alentours de notre Secteur Pastoral. J'apprends à connaître ce monde si proche et si différent, à partager avec d'autres ses joies et ses peines. Autre culture, autre histoire, autre mode de vie ... leur monde n'est pas le nôtre ! Nous sommes sédentarisés depuis longtemps, préoccupés par le savoir et l'avoir, « calés » dans nos biens. Eux, ils sont « du voyage », peuple aux « semelles de vent », habités par une culture de liberté. Nous habitons le même monde, vivons dans la même société, mais nos repères sont différents. |
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L'évolution rapide de notre société nous atteint tous, eux et nous. II est urgent, nécessaire et difficile de nous connaître, de nous comprendre dans le respect et la richesse de nos différences, pour vivre ensemble. C'est une exigence de citoyen et de chrétien ! Les « gens du voyage » sont croyants et accueillants. Même si beaucoup aujourd'hui appartiennent à d'autres groupements religieux, les prêtres (appelés chez eux « rachail ») sont toujours bien reçus. La porte de leur caravane et de leur coeur sont ouvertes pour la rencontre, l'écoute et le partage. J'ai la chance d'en bénéficier. Avec eux nous célébrons les Sacrements de l'Église. Ensemble nous lisons la Bible, nous prions et retrouvons tout ce monde dans leurs lieux traditionnels de pèlerinage (Sainte Aubierge, dans notre diocèse, mais surtout les Saintes Maries de la Mer, Lourdes, Lisieux, Paray le Monial ...etc. ...) Ces temps privilégiés de partage et d'écoute nous font communier à leur richesse et leur souci. |
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Mal connu, suspecté et rejeté, ce peuple est aujourd'hui menacé. Les « terrains de stationnement » deviennent introuvables. Les pouvoirs politiques et l'opinion publique sont, en général, peu coopérants pour appliquer les lois en faveur des « voyageurs », obtenir et viabiliser les terrains d'accueil que la loi Besson exige. Ceux qui ont acquis un bout de terrain pour mettre leur « habitation-caravane » ont du mal à obtenir l'eau et l'électricité. |
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Dans notre région, Val d'Europe et ailleurs, les caravanes sont en perpétuel mouvement parce qu'interdites de séjour. Comment ne pas évoquer ici tous ces problèmes vécus au Brésil avec les « paysans-sans-terre », les populations pauvres des périphéries urbaines (favelados) et tout ce monde des tribus Indiennes en quête de terre et de citoyenneté ... Tous mal connus, mal aimés, rejetés et accusés de tous les maux pour être mieux rejetés ! Même causes ... mêmes effets ! Chrétiens, nous sommes dans le temps de Pâques appelés à la Résurrection, à « l'éveil » ... les « gens du voyage » sont nos frères ... Beaucoup sont encore catholiques et demandent à être compris et accueillis comme chrétiens pour que l'on puisse nous aussi les aider à trouver solution humaine pour le stationnement de leurs caravanes ; leur vie et leur avenir en dépendent! Comme nous, ils ont famille et enfants. Ils veulent vivre et exister; |
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ils sont pécheurs, comme nous ... pas pire que nous ! Les chemins qui leur étaient ouverts se sont fermés : partout des tranchées, des obstacles et de grosses pierres ferment ces chemins. Ils doivent chercher un « ailleurs » difficile à trouver ... Ils sont devenus indésirés et indésirables ! Eux et nous habitons ce monde en mutation rapide. Eux et nous cherchons à vivre notre héritage culturel. Nous, les sédentaires, avons appris à vivre avec des biens acquis et construits. Nous en savons le prix! Parfois ce que nous avons nous aveugle et nous paralyse. Les <</p> « voyageurs » vivent différemment. Ils sont héritiers d'une « culture de liberté » dont ils vivent encore et dont nous rêvons parfois ... |
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Ils savent que le monde a changé et que leur vie doit aussi changer. Ils s'organisent pour cela et résistent pour ne pas perdre leur âme, leur culture et leur vie, comme les « Indiens » du Brésil. L'Église est avec eux sur ce chemin de résistance illuminé par la Foi et l'Espérance. Faisant route avec eux, ils nous apprennent la joie et l'accueil, la saveur du pain partagé et la force de la famille réunie. La musique et les guitares continuent à habiter leur vie et leurs rencontres. |
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Ces « gens du voyage » sont nos frères et nous font signe pour les connaître, les comprendre et les aimer. Trop de pierres stoppent leur route, les font trébucher et les empêchent d'être ce « peuple en marche » que nous sommes appelés à être avec eux. |
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Nous sommes « chrétiens-pèlerins », disciples de Jésus, homme des longues marches, celui qui n'avait pas où reposer sa tête et dont on a voulu bloquer la marche en mettant la pierre sur son tombeau ... Dieu, son Père, a tiré la pierre et ouvert le chemin. II nous appelle à marcher à sa suite, à être des « gens du voyage »... Nous vivons la Pâque du seigneur. Chrétiens, ne jetons pas la pierre et n'enterrons pas nos frères du « voyage ». |
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Essayons de comprendre, d'écouter et partager. L'Esprit de Jésus nous appelle à ouvrir des « chemins d'avenir », dans le respect des lois et le courage de la foi. « Un autre monde est possible » ... puisque «... nous sommes ici-bas des hôtes de passage et des migrants... » ( 1 Pierre 2, 11). |
à Saint Aubierge (commune de Saint Augustin) pèlerinage diocésain des "gens du voyage" Tous invités! |
Père Jacques Hahusseau
Au début de cette année d'aumônerie nous avions réfléchi, nous les animateurs, aux actions que nous aurions pu proposer à nos jeunes. Notre objectif était de les sensibiliser à la
possibilité qu'ils avaient, à leur âge, avec
leurs moyens, de s'investir dans un projet et de le mener
à bien. La fête des Communautés nous a apporté "sur un plateau" une idée à la fois nouvelle et originale. L'Association des Originaires des Comores en France, (AOCoF), participait à cette fête et présentait à cette occasion le projet qui se mettait en place sur le secteur : créer une bibliothèque â Ouani, aux Comores, pour améliorer la scolarisation des petits comoriens. Ce projet nous est apparu intéressant et nous sommes rentrés en contact avec les membres de l'association afin, d'une part d'évaluer les besoins et les actions possibles à notre niveau, et d'autre part, de nous assurer des chances d'aboutissement de cette entreprise. En effet, nous ne voulions pas mobiliser "nos troupes" sur ce qui aurait pu s'avérer, à terme, irréalisable. La proposition a été lancée en décembre et a, tout de suite, suscité un vif intérêt. Nos jeunes ont même accepté de se retrouver pendant les vacances de Noël pour préparer affiches et lettre de présentation du projet ! Notre objectif : récupérer des livres scolaires dans les écoles primaires, mais aussi du matériel permettant la restauration et la couverture des manuels. Dans un premier temps, nos jeunes se sont rendus, munis de leur lettre d'introduction, dans les groupes scolaires de leur commune à Bussy, Collégien, Saint Thibault. Ils ont expliqué leur démarche aux directeurs d'école qui ont répondu favorablement à leur sollicitation. D'autres ont fait un démarchage dans leur quartier et ont ainsi récupéré romans, BD, dictionnaires. Enfin, ils ont fait le tri dans leur bibliothèque personnelle et accepté de se séparer de certains de leurs trésors ...Lancés dans la communication, ils ont présenté leur projet en janvier au cours d'une messe à Notre Dame du Val et sollicité l'assemblée pour la récupération de rouleaux de films plastique et adhésifs. Puis est venu le temps de la collecte des livres dans les écoles, le stockage au centre pastoral. Là, les parents ont été mis à contribution et répondu présents ! Deux séances de "restauration et couverture" ont été organisées pendant les vacances de février. Enfin, en mars, au cours d'une rencontre aumônerie, nos jeunes ont remis leur "butin" aux membres de l'AOCoF. Ce fut l'occasion d'une belle rencontre riche en émotion, en partage et en joie de donner et de recevoir qui restera marquée dans nos mémoires. Rendez-vous compte, ce sont près de 1 100 livres que nos jeunes ont offerts à ces enfants des Comores qu'ils ne connaissent pas, ne rencontreront certainement jamais ! Pour eux, le plus étonnant a été d'entendre dire qu'ils allaient faire des heureux avec des livres scolaires ! INIMAGINABLE! Nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir pour la suite de cette histoire. Nos livres vont partir par bateau jusqu'à Ouani où ils seront pris en charge par la partie comorienne de l'Association. Nos interlocuteurs doivent venir nous relater en septembre l'installation de la bibliothèque qui est programmée pour cet été. Rendez-vous est donc pris et nos jeunes sont prêts pour de nouvelles aventures... En conclusion, nous voudrions profiter de cette "tribune" pour remercier tous ceux qui nous ont aidés à la réussite de cette entreprise. Et, pour reprendre une formule déjà bien connue : "A tous, on peut tout",... du moins beaucoup! Les animateurs de Aumônerie 4ème-3ème. |
Cette opération menée par le Secours Catholique et le CCFD pendant le temps du Carême, depuis l'an 2000, permet d'envoyer une aide financière au diocèse du Bukavu, jumelé avec le diocèse de Meaux, afin de développer pour les jeunes, sur place, une enseignement à l'ébénisterie, la maçonnerie, l'élevage et l'agriculture. Les enfants du catéchisme, du CE2 à la 6eme ont collecté cette année 518,34 euros. Nous les en remercions et faisons parvenir cette somme au CCFD. |
Nous étions plus de 80 (Pierrick, il va falloir bientôt pousser les murs!), chrétiens et musulmans, vendredi 28 mars au Centre Pastoral, pour une conférence sur le thème "Carême et Ramadan" animée par le père Gilles Couvreur, qui a travaillé au Secrétariat pour les Relations avec l'Islam (SRI) dans le cadre de la Commission Épiscopale, et par Myriam Bourega co-vice présidente musulmane du groupe d'amitié Islamo-Chrétien. Nous avons appris à mieux connaître les origines et la pratique de deux temps forts de nos religions, à la fois voisins et différents. Le Ramadan, neuvième mois lunaire dans le calendrier de l'Islam, est en effet à la fois une période de jeûne s'appuyant sur un fort retour du croyant vers son Créateur (un "souffle intérieur" est une image qui a été employée) et, le soir venu, un temps de fête au cours duquel la communauté se retrouve, se ressource, se soude... Notre pratique du Carême, plus individualisée (individualiste ?), correspond sans doute à notre mode de vie, celui de notre société "sécularisée". L'échange a également mis en lumière la "tiédeur" de notre pratique, notre façon peut-être un peu "tristounette" de vivre cette période. Ce que nous aurions à réinvestir? Ce "décalage" a, par voie de conséquence, induit de nombreuses questions, de part et d'autre, qui, beaucoup plus largement, avaient trait à une meilleure connaissance de nos religions, de leur pratique .... L'actualité internationale était également, bien sûr, présente en filigrane dans ces questionnements.... II a fallu écourter, car nous aurions certainement pu avancer beaucoup plus avant dans la nuit sans nous en apercevoir. Ce dialogue a, c'est évident, besoin d'être encore beaucoup nourri..... |
Le Secteur pastoral de Bussy Saint Georges vit de la
générosité des fidèles des
différentes paroisses qui le composent. Qu'ils en soient
vivement remerciés. |
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Recette : 104 007 euros
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Dépenses : 78 820 euros
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L'excédent de recettes a permis de régler une partie des frais engagés pour la pose des vitraux de l'église Notre Dame du Val. Les personnes qui souhaiteraient obtenir des précisions sur la situation de trésorerie peuvent s'adresser au secrétariat du Secteur Pastoral. Avec l'augmentation de la population du Secteur, on assiste en même temps à un accroissement des tâches pastorales et administratives. Aussi, il a été décidé, avec l'accord de l'Administration Diocésaine, d'employer une personne sur la base d'un « quart de temps », sa rémunération étant assurée par le Secteur Pastoral. Pierre Becard |
Nous venons de lancer une nouvelle opération en vue de rembourser rapidement l'emprunt en cours : il reste environ 140 000 euros de dettes. Nous espérons bien qu'après la campagne d'automne, nous aurons la joie et la fierté de voir notre église intégralement payée. Nous remercions bien sincèrement tous nos donateurs proches et lointains qui ont permis de raccourcir sérieusement la durée de nos remboursements. Nous comptons encore 25 000 fidèles qui nous témoignent, par leur geste répété, de leur attachement à cette grande réalisation et de leur piété à la Vierge Marie. Quelques réflexions accompagnant leurs dons Des témoignages comme ceux-là arrivent par dizaines à chaque campagne attestant de la fidélité à Marie. Prions celle-ci à l'intention de tous ces donateurs connus et inconnus et pour la remercier d'avoir insufflé à tous ceux qui ont participé à la réalisation de cette oeuvre, la force d'avoir édifié cette construction à la gloire de Dieu et de sa Mère. Jules Montagne
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