Archives --> Bulletin d'information de mars - avril 2003

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Le mot de Louis 40 jours pour... " en baver " ? ou 40 jours pour mieux aimer?

On entend les chrétiens se plaindre : " voyez donc la place que font les médias au Ramadan ! ... et notre Carême à nous ? "

II ne peut y avoir qu'un seul Dieu. Et si l'on va au fond des choses, Carême chrétien et Ramadan pour les musulmans sont faits pour reprendre en main des attitudes humaines fondamentales devant celui en qui nous croyons, quel que soit le nom qu'on lui donne.

Le jeûne : Je m'habitue facilement à bien manger. Mais si ce que je mange est le fruit de mon travail, ce que je suis (pour pouvoir travailler !) qui me le donne ?

Je trouve normal de manger à ma faim, (peut-être de trop quelquefois !) mais combien de mes frères et soeurs de par le monde souffrent de la faim ou en meurent ? Serait-ce parce que Dieu ne les aime pas ou parce qu'une partie des habitants de la planète accapare ce qui serait nécessaire pour tous ?

Le jeûne se pratique différemment par les chrétiens ou par les musulmans mais qui peut nier que chez les uns comme chez les autres il exige un effort significatif et méritoire ?

Il exprime : beaucoup de biens qui sont à ma disposition me donnent envie d'en abuser. Voici donc que pendant une période, en même temps que beaucoup d'autres qui partagent les mêmes convictions, je décide de me maîtriser.

Beaucoup des biens dont je peux profiter, je les dois à d'autres ; peut-être même y en a-t-il qui ont travaillé sans recevoir pour autant un juste salaire... Mon jeûne peut m'aider à le reconnaître.

Aujourd'hui, deux mille ans après la naissance de Jésus (et ... combien de temps après la " révélation " à Mahomet ... ?), une énorme tranche de l'humanité souffre de la faim ou ... en meurt. Le jeûne que je pratique m'aide à en prendre conscience, à ne pas l'oublier.

Le partage : On ne le sait peut-être pas assez. A la rupture du jeûne quotidien, à " l'Aïd ", la fête marquant la fin du Ramadan, le souci de tout vrai musulman est d'inviter à sa table quelqu'un qui est seul, quelqu'un qui n'a pas trop les moyens, tel ou tel qui est malheureux, peut-être ... Sans compter d'autres formes de dons ou de partage liés à ce temps fort privilégié par bien des croyants qui ne " pratiquent " pas beaucoup par ailleurs...

Chez les chrétiens, les organisations caritatives mettent fortement l'accent, durant le temps de Carême, sur le partage concret auquel l'évangile du Christ nous appelle, autant en direction de ceux qui sont près que de ceux qui sont plus loin et dont nous nous faisons les " prochains ".

Chrétiens, sans nous préoccuper de mesurer le temps d'antenne qui est donné aux uns et aux autres, puissions-nous vivre très sérieusement - et dans la joie, ce qui ne gâte rien ! - ce temps de Carême, rappel vigoureux de ce qu'est notre humanité avec ses béances et ses gestes merveilleux.

Et la prière ? Celui qui a fait l'être humain à son image, qui peut mieux que lui nous aider à prendre notre place dans ce monde capable du meilleur et du pire ? Nous mettre humblement devant lui, en reconnaissant nos refus de regarder plus loin que le bout du nez, l'impasse que nous faisons si volontiers sur les situations de misère que connaissent tant d'humains, nos frères et soeurs, puiser dans un regard intense sur sa bonté, sur le pardon qu'il est toujours prêt à accorder, c'est de tout temps la prière de tout vrai croyant, avec le souci de ne jamais séparer notre dialogue avec Dieu de notre attitude envers nos frères.

Père Louis Aldaits

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Un temps pour prier

Je cherche ton visage

Je cherche ton visage, Seigneur,
ne me cache pas ton visage.
Désormais, Toi, mon Seigneur et mon Dieu,
enseigne-moi, au plus profond de mon cœur,
Où et comment je dois te chercher,
Où et comment je te trouverai.

Si tu n'es pas en moi, où dois-je te chercher ?
Mais si tu es partout présent,
d'où vient que je ne te voie pas ?
Tu habites, je le sais, dans une lumière inaccessible.
Mais où resplendit-elle, cette lumière inaccessible,
et comment parvenir jusqu'à elle ?
Qui me guidera, qui m'introduira pour que je puisse te voir ?
A quels signes pourrai-je te reconnaître ?
Je ne t'ai jamais vu, Seigneur mon Dieu,
et je ne connais pas ton visage...

J'ai cherché le bonheur, et je suis dans le trouble.
J'étais tendu vers toi, et je t'ai offensé.
J'ai cherché le repos dans ma solitude
et n'ai trouvé que la douleur et les soucis.
Je voulais rire dans l'allégresse
et je ne peux que gémir ou rugir.
Jusqu'à quand, Seigneur, jusqu'à quand nous laisseras-tu dans l'oubli ?
Jusqu'à quand détourneras-tu de nous ton visage ?
Quand nous exauceras-tu ?
Quand illumineras-tu notre regard ?

Regarde-nous, Seigneur, et exauce-nous.
Donne-nous la lumière, montre-toi.
Aie pitié de nos efforts pour te trouver,
car nous ne pouvons rien sans toi.
Tu nous invites, aide-nous.
Libère-moi, décharge-moi, apprends-moi à te chercher
car je ne peux pas te chercher
si tu ne me l'apprends pas,
ni te trouver si tu ne te montres pas à moi.
Fais qu'en t'aimant je te trouve
et que je t'aime en te trouvant.

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La vie du secteur pastoral

Taizé à Bussy

C'est à l'heure de Taizé que notre communauté et toute la ville de Bussy et des communes du Secteur Pastoral ont vécu entre Noël et le Jour de l'an! Essayez d'imaginer, si vous vous étiez absentés à cette période là, 300 jeunes (130 polonais, 50 français, des ukrainiens, des croates, des russes, des hongrois et des italiens), débarquant un beau matin dans les rues, sac au dos, et, pour certains, bannières de leur pays ou de leur région au vent.

30 familles d'accueil s'étaient mobilisées pour les recevoir entre leurs moments de prières et de réflexion à la Porte de Versailles à Paris. La commune avait mobilisé un gymnase pour loger ceux qui n'avaient pu être hébergés dans les familles. Des boulangeries de Torcy et de Bussy ont donné des baguettes pour assurer les petits déjeuner.

Une vingtaine de témoins leur ont présenté la vie de notre église, de ses groupes paroissiaux (CCFD, ACAT, Secours Catholique, préparation au mariage....). Nous avons échangé sur la diversité des pratiques de notre Foi commune.

Quelle richesse !

Nous avons partagé également leur prière, et notamment en une mémorable veillée de chants, le 31 au soir, à Notre Dame du Val, qui s'est achevée par le compte à rebours (en polonais, s'il vous plaît!) des douze coups de minuit, des embrassades et des voeux pour vivre dans un monde de paix, dans nos différences comme dans nos ressemblances. La soirée s'est poursuivie au gymnase Michel Jazy, par un réveillon aussi endiablé qu'original, qui aura réconcilié beaucoup d'entre nous avec certaines périodes de fêtes un peu trop superficielles.....

Nous garderons le souvenir d'un mélange des âges dans une espérance commune, d'un mélange des nationalités dans une Foi partagée..... Et ce partage a été suffisamment fort, pour que nous nous retrouvions une dizaine de jours plus tard, afin de remercier le petit groupe de ceux qui s'étaient investis à fond dans ce projet, et nous dire que, décidément, la mondialisation en marche, nous pouvions bien la vivre dans un tout autre contexte que celle de la globalisation de l'économie !

Tenez, nous avons même décidé de nous retrouver le quatrième vendredi de chaque mois, au Centre Pastoral à 21 h, pour prolonger ces moments de prière ensemble. Si vous avez raté le début, il est encore temps de nous rejoindre...

Jacques Cracowski


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Veillée de prière oecuménique

Dans le cadre de la semaine de l'unité, la veillée de prière oecuménique a rassemblé un groupe de catholiques et protestants en l'Église de Bussy Saint Martin. C'est le schéma proposé par le Conseil d'Églises Chrétiennes en France qui a guidé la prière commune de ce soir là, autour de la phrase " ce trésor (la Bonne Nouvelle), nous le portons dans des vases d'argile " (2 Cor. 4,7). Chants et prière commune se sont exprimés dans l'humilité suggérée par cette phrase.

Un témoignage de l'A.C.A.T. (Action Chrétienne pour l'Abolition de la Torture) de Bussy Saint Georges avec un prisonnier parmi ceux qui " attendent " dans les couloirs de la mort aux U.S.A. a aidé aussi l'assemblée à orienter sa prière.

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Enfants de choeur ou servants de messe

Depuis le mois de Décembre, nos messes paroissiales (samedi soir à Guermantes et dimanche matin à Bussy Saint Georges) se sont enrichis de la présence d'enfants de choeur ou servants de messe. Ces jeunes, garçons ou filles, âgés de 7 à 11 ans, sont heureux de pouvoir participer plus pleinement à nos célébrations aux côtés du prêtre. Si votre enfant souhaite devenir servant de messe, nous vous accueillerons avec plaisir à la réunion d'information et de formation qui se tiendra en présence du Père Pierrick LEMAITRE

le samedi 29 mars 2003 de 14 h à 15 h
à l'Église Notre Dame du Val de Bussy Saint Georges.

Un planning de présence aux différentes messes du mois suivant sera établi afin de pouvoir répondre à toutes les demandes. Pour tout autre renseignement, vous pouvez vous adresser à Laurence CARRET au 01 64 66 7153.

Ce service liturgique offre la possibilité de créer des liens entre jeunes paroissiens membres d'une même Église.

Pour tout autre renseignement, vous pouvez vous adresser à Laurence CARRET

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Bénédiction des vitraux à Notre Dame du Val

Le 2 février 2003 a eu lieu la bénédiction des vitraux de l'Église Notre Dame du Val. Jean-Louis Lambert, qui a conçu ces vitraux est venu nous en expliquer toute la symbolique.

Après des études de théologie, J.L. Lambert s'oriente vers les Beaux Arts de Paris. Dès ses premières années d'enfant de chœur, il a vu remettre en place les vitraux de nos églises de campagne qui avaient été détruits du fait de la guerre. ll est fasciné par cette imagerie de lumière et de couleur...

La conception des verrières a mûri durant cinq années de remise en question ...
Le premier thème affirmé par l'équipe pastorale et qu'elle voulait voir exprimer dans ses vitraux était le baptême dans l'eau et dans l'esprit. Le croquis initial du vitrail dominant le baptistère date de 1997, et est demeuré ferme référence jusqu'à sa réalisation en 2002 mettant en parallèle le baptême du Christ et la Pentecôte.

C'est à partir de cette composition que s'est tracé le tissu de vagues bleues et de flammes rouges.
C'est volontairement que les vagues bleues découlent des gestes du Christ ressuscité, source d'eau vive.
J.L. Lambert a tenu à une sérénité bleu mordoré dans l'approche du choeur.

Rappel implicite du symbole que les architectes de Notre Dame du Val avait traduit en extérieur en plantant le départ des piliers de l'église dans le plan d'eau.

Notre dame du Val

Les flammes rouges et or ont elles été concentrées dans l'orientation sud du soleil, comme le voulait la tradition des constructeurs de cathédrales qui réservaient les couleurs chaudes au sud et les couleurs froides au nord.

En composant les mouvements bleu, rouge et or, J.L. Lambert n'a pas omis de penser aux mystères commémorés dans la prière du Rosaire, mystères douloureux, mystères joyeux, mystères glorieux.

8 modules composés en croix grecque forment l'imagerie du baptistère. A droite, le baptême de Jésus par Jean le Baptiste, à gauche Marie au milieu des apôtres de la Pentecôte. La flamme dans la représentation du baptême du Christ (extrapolation des flammes de la pentecôte) tient surtout à marquer à la gorge l'agneau, figurant l'agneau immolé pour la Pâque et le sacrifice du Christ agneau de Dieu.

vitrail au dessus du baptistère

A la pentecôte Marie est au milieu des douze apôtres et reçoit avec eux l'Esprit sous forme de la langue de feu (langues qui pénètrent la bouche des apôtres pour symboliser leur faculté à s'exprimer en d'autres langages).

L'apôtre qui partage le pain à la table de la Vierge peut être un homme d'aujourd'hui. Mais l'ensemble des apôtres a été traduit dans son patrimoine culturel (Juifs et Palestiniens qui interrogent encore aujourd'hui notre monde.

la fuite en Egypte

La seconde imagerie, placée au Nord représente une sainte famille fuyant en Egypte, tournant le dos à l'autel ; elle est symbole des difficultés d'insertion que vivent de nombreuses familles de notre société.

Extraits de l'intervention faite par J.L. Lambert lors de la célébration du 2 février 2003.

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Témoignage : la transmission de la foi

C'était à une messe où les enfants du catéchisme étaient invités. L'assemblée avait écouté l'évangile du jour :

Jean 1, 35-42 ... Jean Baptiste était là avec deux de ses disciples. Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, il dit: " Voici l'Agneau de Dieu ".
Les deux disciples entendirent cette parole et ils suivirent Jésus. Celui-ci se retourna, vit qu'ils le suivaient et leur dit: " Que cherchezvous ?"
Ils lui répondirent: " Rabbi (c'est à dire " Maître"), où demeures-tu ? " Il leur dit: " Venez et vous verrez ".
lis l'accompagnèrent et ils virent où il demeurait et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. C'était vers quatre heures du soir.
André, le frère de Simon-Pierre, était l'un des deux disciples qui avaient entendu Jean Baptiste et qui avaient suivi Jésus. Il trouve d'abord son frère Simon et lui dit: " Nous avons trouvé le Messie (autrement dit: le Christ) o.
Il l'amena à Jésus. Jésus posa son regard sur lui et lui dit: " Tu es Simon, fils de Jean; tu t'appelleras " Képha " (ce qui veut dire: pierre) ".



Après la lecture, une Maman prend la parole :

" Mes parents m'ont transmis la foi qu'eux-mêmes avaient reçue de leurs parents.
A mon tour, j'essaie de transmettre à mes enfants ma foi en Jésus, en Dieu, son Père, en l'Esprit-Saint, en Marie et donc en l'homme ... tout en respectant l'incroyance de mon époux, père de nos enfants.

Croire en Jésus n'est pas " un long fleuve tranquille ", contrairement à ce que beaucoup pensent. 11 ne nous laisse jamais tranquille dans notre petite vie parce qu'il nous fait nous poser des tas de questions sur le sens de la Vie, la Mort ... et rien n'est jamais acquis pour toujours.

La vie d'un vrai chrétien est toujours bousculée par la pauvreté de ses frères, la maladie de tel jeune, la souffrance d'une séparation familiale, l'injustice dans son milieu professionnel ...

Ma foi n'est pas celle de mes parents et celle de mes enfants, je l'espère, sera différente...

Ce qui fait que ma foi vit, c'est le doute : je me pose encore des questions, je me révolte, donc je suis libre de croire et de découvrir toute ma vie ce que Jésus veut me dire.

Nous, parents, catéchistes..., faisons découvrir à nos enfants la Vie et la Personne de Jésus, le dessein de son Père : c'est à dire la raison pour laquelle Dieu a envoyé son Fils.

Qu'est-il donc venu dire aux hommes ? ...

Alors nous aussi, nous continuons ainsi à le découvrir avec eux...

Mais tout cela ne peut se faire sans se ressourcer, sans prier Marie, sans prendre le temps de réfléchir, sans Eucharistie, c'est à dire sans recevoir le plus souvent possible Jésus, source de l'Amour car sans lui nous sommes bien petits ... "

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Propositions de formation et de prière pour le Carême 2003

  • Jésus au désert (Jacques Guillet) -
    " L'Esprit pousse Jésus au désert ".

    L'homme, quand il fait l'expérience de Dieu, la fait souvent dans des conditions particulières, dans un bouleversement ou une distance plus ou moins sentie de son monde habituel. Dieu est présent dans le monde, et si nous ne le trouvons pas dans notre vie, c'est que notre recherche de Dieu est illusoire. Dieu pourtant est autre chose que le monde, et il ne suffit pas de vivre pour le trouver. Dieu n'est pas simplement la vérité que nous poursuivons, l'espoir qui nous fait vivre. Dieu ne vient pas de ce que nous faisons. Dieu vient à nous. Un autre nous parle et nous appelle, un autre dont la parole nous surprend toujours, bien que notre cœur reconnaisse toujours sa voix. Cette distance entre Dieu et nous, cet écart entre nos rêves et les siens, le désert des évangiles en est l'image. Le Christ ne s'éloigne pas des hommes en les rassemblant au désert, il les fait entrer dans les espaces de Dieu.

  • Réflexion sur le thème " Proposer la foi " à partir de la lettre des évêques aux catholiques
    "Aller au cœur de la foi"
    Ce document reprend la "Lettre à l’ensemble du peuple de Dieu, Aller au cœur de la foi", publiée le 8 novembre 2002, à la fin de l’Assemblée plénière des évêques de France, appel lancé aux communautés chrétiennes pour renouveler la pratique de la catéchèse.
    le 13 mars à 20 h 30 à Notre Dame du Val
    Plus d'informations :
  • Chemin de croix des nations
    Venez nous rejoindre pour un temps de prière
    le vendredi 21 mars et
    le vendredi 4 avril à 20 h 30

    à Notre Dame du Val
  • Conférence de carême
    avec le Père Gilles Couvreur
    qui a travaillé au Secrétariat pour les relations avec l'Islam (SRI) dans le cadre de la commission épiscopale,
    et
    Myriam Bourega co-vice Présidente musulmane du groupe d'Amitié Islamo-Chrétien.

    Ils nous proposent une réflexion sur le thème
    Carême et Ramadan
    Le vendredi 28 mars à 20 h 30
    à Notre Dame du Val

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Annonces - Info

Quelques rendez vous … à ne pas manquer

Journée mondiale de prière

" Esprit Saint, remplis nos cœurs "
Veillée de prière préparée par les femmes du Liban
Relayées par les femmes de l'ACGF

le vendredi 7 mars
à 20 h 30 à Notre Dame du Val

Pèlerinage étudiant 22 - 23 mars 2003 Chartres 2003

" Que veux-tu que je fasse pour toi ? " (marc >0,51)

II y a 2 cathédrales, une à Paris, et l'autre à Chartres ... II y a entre les deux la marche avec de nombreux étudiants d'lle de France _..
II y a la prière et la réflexion, les discussions animées en chapitres (petits groupes) ...
II y a la soif de Dieu ou la recherche infinie de sens ...
II y a surtout le désir de rencontrer le christ, de rencontrer les autres, de découvrir le Christ à travers les autres...
II y a tout cela au pèlerinage des étudiants à Chartres et beaucoup d'autres choses encore ...
C'est pourquoi tu y es invité ............. C'est pourquoi tu peux aussi inviter.

Pour tout renseignement, contacter pierrick.lemaitre@laposte.net

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